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Le jeudi, c'est jeu livresque #2 & #6


J'ai décidé de me joindre au rdv Jeudi c'est jeu livresque lancé par Secret Forbidden World. Comme je prends l'aventure en cours de route (avec un an de retard), je vais me calquer sur l'avancée de Ptitelfe qui vient juste de tout reprendre depuis le début et qui en est à la semaine 5. Et pour les 4 premières semaines, je vais rattraper en stéréo les épisodes que j'ai manqués. 

#Semaine 6: une citation

Au choix, citez la 2e ligne de la page 11 ou votre citation préférée. Si elle fait partie d’un fanart, n’hésitez pas à le présenter, dans certains fandom, il y en a foison...

Les citations, je les collecte comme des perles. J'en ai des tas que j'aime, qui m'ont fait rire ou frissonner. Je serais donc bien incapable d'en élire une à la dignité de préférée. J'aime trop les mots pour faire un choix.

Tiens d'ailleurs, à propos de mots:


 Les mots sont chose fugitive et espiègle. Innombrables, turbulents, ils glissent, se cachent et confondent. Quelques-uns font peur, d'autres sont si rares qu'ils peuvent se briser. Ombrageux, ils ne se laissent pas voyager par n'importe qui et l'on est jamais sûr d'appeler un chat un chat. "Bonheur", par exemple : quand on pense à le nommer, il a déjà filé et miaule sur d'autres toits.

L'odalisque et l'éléphant, de Pauline Alphen

#Semaine 2: votre prénom dans un livre

Mon prénom a beau me sembler super courant, je l'ai très rarement rencontré dans la littérature. Qu'à cela ne tienne, celle qui le porte a quelque chose de spécial, puisqu'elle a remporté le cœur du rouquin le plus charmant qu'il soit.

Il s'agit bien évidemment de Claire, l'héroïne de la saga Outlander de Diana Gabaldon.


Avec ses cheveux bruns et bouclés et ses grands yeux ambrés, on n'a pas grand-chose en commun, sauf notre amour pour Jamie. C'est en tout cas un personnage que je trouve absolument délicieux. Courageuse, franche, passionnée, elle est prête à tout pour conserver son indépendance. Femme moderne par excellence, elle se retrouve propulsée quelques 200 ans en arrière, un contexte bien moins favorable à l'émancipation. Mais en tant qu'infirmière de guerre, il en faut plus pour l'ébranler. Elle fera contre mauvaise fortune bon cœur et montrera qu'en s'adaptant, on peut y vivre tout aussi librement.


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