Trilogie Gallaghers of Ardmore
Trilogie Magie Irlandaise
de Nora Roberts
Editions Berkley (2014) 1ère édition en 1999
Traduit en VF aux éditions J'ai Lu (tomes individuels ou intégrale)
350p par tome en moyenne
Traduit en VF aux éditions J'ai Lu (tomes individuels ou intégrale)
350p par tome en moyenne
Nora Roberts est une romancière américaine originaire du Maryland. Auteur prolifique de romances et thriller, elle rédige également sous le pseudonyme de J.D. Robb.
Synopsis
Entre le pub Gallagher où l'on danse et chante, les maisons fleuries et la campagne alentour, ce coin typique du pays attire de nombreux touristes. Mais c'est surtout la légende de lady Gwen et de son chevalier Carrick qui attise la curiosité des visiteurs... Victimes d'une malédiction, les amants sont devenus des fantômes qui hantent parfois la lande, pleurant sur leur triste sort. Pour les réunir et briser le sortilège à tout jamais, trois couples devront s'unir à Ardmore. Aidan et Shaw Gallagher, ainsi que leur soeur Darcy, trouveront-ils l'amour en ce lieu plein de magie ?…
Mon avis
J’ai ressorti ma tenue de scaphandrier pour plonger dans l’oeuvre de Nora Roberts. Au programme cette fois-ci: fées, pub, musique, légendes irlandaises et … des irlandais (oui, dans la vie il n’y a pas que les écossais. Un de ces jours je vous parlerai de la sexitude en romance en fonction des nationalités).
Bienvenue dans le petit village d’Ardamore et son pub où l’on fait la connaissance d’une fratrie bien sympathique: les Gallaghers. L’aîné, Aidan, gère l’affaire familiale tandis que son cadet, Shawn, règne en cuisine et que la petite dernière, Darcy, officie en salle tout en rêvant de plus verts et lointains pâturages. Et comme les frères dont ils partagent le patronyme, ce trio pousse également la chansonnette.
Chacun tour à tour a le droit à sa romance. Pour Aidan, le conteur un peu bourru, il s’agira de Jude, fantaisiste et toute en douceur; Shawn, musicien et éternel rêveur, jettera un oeil nouveau sur la très pragmatique Brenna et la fougueuse Darcy rencontrera son égal en la personne de Trevor.
Peut être que cet étalage vous évoque quelque chose, je ne peux m’empêcher d’y voir des récurrences de personnalité avec les couples de L’île des Trois Soeurs. Une fois encore, c’est d’ailleurs le second qui a remporté toute mon adhésion. Mais bon, je ne vais pas non plus me lancer dans un essai sur les schémas récurrents dans l’oeuvre de Nora Roberts où on y est encore demain.
Et puis cela importe peu, l’essentiel est là, on prend beaucoup de plaisir à observer ces protagonistes drôles et plein de charme. Sans accroc, ils nous emportent au fil de pages emplies de sourires et de douceur.
Mais au delà de ces romances tant conventionnelles qu’efficaces, on reste pour l’atmosphère. L’édition française ne s’y est pas trompé, Magie irlandaise porte terriblement bien son nom. L'enchantement est à chaque coin de rue dans ce petit village où tout le monde se connaît. De vieilles pierres en paysages majestueux, on plonge dans une carte postale et se laisse surprendre par quelques notes échappées d’un pub enfumé.
Et puis il y a cette légende qui sert de fil conducteur à la trilogie. Celle de Carrick, le prince des fées, et de Lady Gwen, les amants maudits qui attendent la délivrance. Une pointe de surnaturel qui, même si moins passionnante que dans L’île des Trois Sœurs, remplit parfaitement son office, apporter un zeste de faërie et rendre l’ensemble plus magique.
Bienvenue dans le petit village d’Ardamore et son pub où l’on fait la connaissance d’une fratrie bien sympathique: les Gallaghers. L’aîné, Aidan, gère l’affaire familiale tandis que son cadet, Shawn, règne en cuisine et que la petite dernière, Darcy, officie en salle tout en rêvant de plus verts et lointains pâturages. Et comme les frères dont ils partagent le patronyme, ce trio pousse également la chansonnette.
Chacun tour à tour a le droit à sa romance. Pour Aidan, le conteur un peu bourru, il s’agira de Jude, fantaisiste et toute en douceur; Shawn, musicien et éternel rêveur, jettera un oeil nouveau sur la très pragmatique Brenna et la fougueuse Darcy rencontrera son égal en la personne de Trevor.
Peut être que cet étalage vous évoque quelque chose, je ne peux m’empêcher d’y voir des récurrences de personnalité avec les couples de L’île des Trois Soeurs. Une fois encore, c’est d’ailleurs le second qui a remporté toute mon adhésion. Mais bon, je ne vais pas non plus me lancer dans un essai sur les schémas récurrents dans l’oeuvre de Nora Roberts où on y est encore demain.
Et puis cela importe peu, l’essentiel est là, on prend beaucoup de plaisir à observer ces protagonistes drôles et plein de charme. Sans accroc, ils nous emportent au fil de pages emplies de sourires et de douceur.
Mais au delà de ces romances tant conventionnelles qu’efficaces, on reste pour l’atmosphère. L’édition française ne s’y est pas trompé, Magie irlandaise porte terriblement bien son nom. L'enchantement est à chaque coin de rue dans ce petit village où tout le monde se connaît. De vieilles pierres en paysages majestueux, on plonge dans une carte postale et se laisse surprendre par quelques notes échappées d’un pub enfumé.
Et puis il y a cette légende qui sert de fil conducteur à la trilogie. Celle de Carrick, le prince des fées, et de Lady Gwen, les amants maudits qui attendent la délivrance. Une pointe de surnaturel qui, même si moins passionnante que dans L’île des Trois Sœurs, remplit parfaitement son office, apporter un zeste de faërie et rendre l’ensemble plus magique.
En bref...
Trois romances irlandaises sans trop de surprise, mais aux nombreux sourires. On prend beaucoup de plaisir à suivre ces protagonistes drôles et plein de charme. Mais ce qui fait le sel de cette trilogie, c’est son atmosphère. L’édition française ne s’y est pas trompé, Magie irlandaise porte terriblement bien son nom. Dans ce petit village où tout le monde se connaît, l'enchantement est à chaque coin de rue. Et puis il y a cette petite pointe de surnaturel qui épice le tout. Une lecture pour les jours de morosité.
Trois romances irlandaises sans trop de surprise, mais aux nombreux sourires. On prend beaucoup de plaisir à suivre ces protagonistes drôles et plein de charme. Mais ce qui fait le sel de cette trilogie, c’est son atmosphère. L’édition française ne s’y est pas trompé, Magie irlandaise porte terriblement bien son nom. Dans ce petit village où tout le monde se connaît, l'enchantement est à chaque coin de rue. Et puis il y a cette petite pointe de surnaturel qui épice le tout. Une lecture pour les jours de morosité.
aaah les livres que j'ai eu pour Noel ! Je suis contente de voir que tu as passé un bon moment avec les 3! Je suis curieuse de m'y mettre.
RépondreSupprimerAh mais vi c'est vrai !!!! (la fille qui a une mémoire de poisson rouge en ce moment ^^). J'espère que tu vas accrocher alors, c'est pas prise de tête pour deux sous comme lecture.
SupprimerIl faudrait que je tente un Roberts ! Hâte de lire ton article sur "la sexitude en romance en fonction des nationalités" ;)
RépondreSupprimerFouiiii, mais bon avec tout ce que la dame a écrit c'est un peu dur de faire son choix. J'avance à petit pas dans son oeuvre avec trois séries à mon actif, et pour le moment c'est celle de L'ïle des Trois Sœurs que j'ai préférée.
SupprimerJe n'ai jamais testé cette auteure, il faudrait que je m'y mette :)
RépondreSupprimerPas mon auteur de romance contemporaine préférée, mais j'accroche bien à ses séries. C'est un peu doudou comme lecture, et celles avec une petites pointes de surnaturel ont un atmosphère bien plaisante. Mais pfiou dur de s'y retrouver dans toutes ses parutions !
Supprimer