Smythe-Smith Quartett
Le quartet des Smythe-Smith
de Julia Quinn
Le quartet des Smythe-Smith
de Julia Quinn
Editions Avon (2011, 2012, 2012, 2015)
Parution en VF aux éditions J'ai Lu
Parution en VF aux éditions J'ai Lu
374, 373, 373, 378 pages
Mon avis
Si vous avez déjà lu un roman de Julia Quinn, vous avez sûrement fait la connaissance des tristement/musicalement célèbres Smythe-Smith. C’est bien simple, quel que soit le roman, il semble toujours y avoir un quatuor de cousines massacrant leurs instruments en fond. On ne compte ainsi plus les héros et héroïnes qui ont dû souffrir de leur récital annuel. Mais ce qui n’était qu’une blague entre l’autrice et ses lecteurs est devenu une série à part entière.
Alors si vous voulez savoir qui sont les Smythe-Smith, quels sont leurs réseaux et pourquoi sont-elles vouées à torturer les oreilles de la noblesse anglaise année après année, n’hésitez plus !
Alors si vous voulez savoir qui sont les Smythe-Smith, quels sont leurs réseaux et pourquoi sont-elles vouées à torturer les oreilles de la noblesse anglaise année après année, n’hésitez plus !
En ce printemps 1824, lady Honoria Smythe-Smith se morfond chez elle depuis que son frère Daniel, contraint à l'exil après un scandale retentissant, a laissé la maison vide et leur mère désespérée. Comment échapper à cette ambiance morose ? En se mariant ! Hélas, lors de la précédente saison, tous ses prétendants l'ont mystérieusement abandonnée sans un mot d'explication. Cette année, Honoria entend bien forcer le destin. Elle jette son dévolu sur le jeune Gregory Bridgerton et, lors d'une garden-party à Cambridge, met au point un plan infaillible pour l'attirer dans ses filets. Mais Marcus, son ami d'enfance, va tout faire capoter...
Pas le meilleur roman de l’autrice, par là qu’il y a plus époustouflant sur le plan émotionnel. Mais justement, cela fait du bien d’avoir une histoire simple et pleine de douceur à se mettre sous la dent. Il y a un côté très tendre à la relation entre Honoria et Marcus qui met du baume au cœur.
Sur fond du très classique trope tombe-amoureuse-du-meilleur-pote-de-son-grand-frère, Julia Quinn nous livre une romance qui s’enracine loin dans le passé. Les liens ici à l’honneur ne sont pas seulement ceux entre nos deux héros, mais également ceux qui unissent Marcus aux Smythe-Smith. C’est le petit plus de cette histoire, je trouve, la manière dont ce garçon trop solitaire s’est trouvé une famille aimante… et complètement barrée.
Et avec les Smythe-Smith et leurs légendaires concerts en ligne de mire, l'intrigue ne peut qu'être très drôle. Comme toujours avec Julia Quinn, les situations sont cocasses, les dialogues pétillants et les personnages secondaires aussi truculents qu’ils ont tendance à se mêler de ce qui ne les regarde pas. Il y a une chouette énergie qui se dégage du roman, entre montée des sentiments, rétrospective émotionnelle et douce cacophonie.
Et puis il y a Marcus... ah Marcus *soupir rêveur*. Je pourrais vous faire un essai sur la sexytude des héros nommés Marcus en romance, mais je vais m'arrêter là.
Pas le meilleur roman de l’autrice, par là qu’il y a plus époustouflant sur le plan émotionnel. Mais justement, cela fait du bien d’avoir une histoire simple et pleine de douceur à se mettre sous la dent. Il y a un côté très tendre à la relation entre Honoria et Marcus qui met du baume au cœur.
Sur fond du très classique trope tombe-amoureuse-du-meilleur-pote-de-son-grand-frère, Julia Quinn nous livre une romance qui s’enracine loin dans le passé. Les liens ici à l’honneur ne sont pas seulement ceux entre nos deux héros, mais également ceux qui unissent Marcus aux Smythe-Smith. C’est le petit plus de cette histoire, je trouve, la manière dont ce garçon trop solitaire s’est trouvé une famille aimante… et complètement barrée.
Et avec les Smythe-Smith et leurs légendaires concerts en ligne de mire, l'intrigue ne peut qu'être très drôle. Comme toujours avec Julia Quinn, les situations sont cocasses, les dialogues pétillants et les personnages secondaires aussi truculents qu’ils ont tendance à se mêler de ce qui ne les regarde pas. Il y a une chouette énergie qui se dégage du roman, entre montée des sentiments, rétrospective émotionnelle et douce cacophonie.
Et puis il y a Marcus... ah Marcus *soupir rêveur*. Je pourrais vous faire un essai sur la sexytude des héros nommés Marcus en romance, mais je vais m'arrêter là.
J'ai beaucoup aimé
Contraint à l'exil après un scandale, Daniel Smythe-Smith rentre enfin Angleterre. Et il faut que ce soit le jour où a lieu le traditionnel concert familial, cette épouvantable cacophonie infligée chaque année aux oreilles délicates de la bonne société ! Parmi le quatuor de musiciennes, Daniel remarque une inconnue dont la beauté l'éblouit. Anne Wynter est la gouvernante de ses cousines et leur différence de classe lui interdit de lui faire la cour. Qu'importe, le jeune comte est prêt à défier les règles établies et à balayer tout ce qui les sépare !
Un tome deux qui m’a moins conquise que le premier. Je ne dis pas que j’ai passé un mauvais moment avec, j’étais d’ailleurs assez enthousiasmée par toute la première moitié du roman, mais l’histoire s’essouffle pour moi au fil des pages. Et là où le premier tome faisait un peu gourmandise pleine de douceur, celui-là traîne en longueur, à ressasser les mêmes émois.
C’est dommage, car Daniel et Anne ont, pris séparément, un sacré potentiel. Tous deux surfent sur la vague des erreurs de jeunesse qui se rappellent à leur bon souvenir, ce qui aurait pu donner une belle profondeur à l’histoire. L’autrice est cependant restée sur de la platitude, avec une romance trop lisse et redondante émotionnellement parlant. Je sais bien que je faisais dans ma chronique du tome précédent l’apologie de la simplicité, mais simplicité ne veut pas dire vide non plus.
Cela reste du Julia Quinn cependant, donc les personnages secondaires truculent viennent redonner du peps à tout cela et apportent qu’il faut de fraîcheur, mais je me dis que Daniel et Anne auraient quand même mérité mieux.
Un tome deux qui m’a moins conquise que le premier. Je ne dis pas que j’ai passé un mauvais moment avec, j’étais d’ailleurs assez enthousiasmée par toute la première moitié du roman, mais l’histoire s’essouffle pour moi au fil des pages. Et là où le premier tome faisait un peu gourmandise pleine de douceur, celui-là traîne en longueur, à ressasser les mêmes émois.
C’est dommage, car Daniel et Anne ont, pris séparément, un sacré potentiel. Tous deux surfent sur la vague des erreurs de jeunesse qui se rappellent à leur bon souvenir, ce qui aurait pu donner une belle profondeur à l’histoire. L’autrice est cependant restée sur de la platitude, avec une romance trop lisse et redondante émotionnellement parlant. Je sais bien que je faisais dans ma chronique du tome précédent l’apologie de la simplicité, mais simplicité ne veut pas dire vide non plus.
Cela reste du Julia Quinn cependant, donc les personnages secondaires truculent viennent redonner du peps à tout cela et apportent qu’il faut de fraîcheur, mais je me dis que Daniel et Anne auraient quand même mérité mieux.
J'ai aimé, mais
Avis sur les tomes suivants à venir...
Il faut que je lise de ses romans
RépondreSupprimerIls ont l'air super sympa, je pense me laisser tenter par la version qui vient de sortir ^^
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